Près de l’intersection Décarie/Jean-Talon, par exemple, où les résidents vivent en moyenne à plus de 1,8 km d’un marché alimentaire et font face à des obstacles physiques majeurs comme une autoroute et des voies ferrées, la mesure aiderait à renforcer la sécurité alimentaire en offrant des aliments frais, abordables et de proximité.