En quelques phrases…

Vote préférentiel

Vote proportionnel

Pour les conseils de ville et d’arrondissement, Transition Montréal propose le vote transférable unique (VTU), un mode de scrutin proportionnel qui garantit que la composition des conseils reflète réellement le choix des électeurs. Selon nous, ce n’est pas normal qu’un parti qui obtient 38 % des voix occupe 100 % des sièges. Le système actuel étouffe la diversité politique et donne des chèques en blanc à une seule formation. Avec le vote proportionnel, on encourage la représentation, mais surtout la collaboration constructive entre les élus.

Vote libre

Transition Montréal veut également instaurer le vote libre pour les membres de sa formation. Plutôt que d’imposer une ligne de parti, chaque représentant pourrait voter selon ses convictions et les besoins de ses électeurs. À notre avis, les votes whippés ne respectent ni l’intelligence des personnes élues ni celle de la population. Le vote libre oblige un leadership plus transparent et instaure une vraie culture de coopération.

Ville-Marie

Transition Montréal propose l’introduction du bulletin préférentiel pour l’élection à la mairie de Montréal et aux mairies d’arrondissements, l’adoption d’un scrutin proportionnel de type vote transférable unique pour les autres postes élus, et l’instauration du vote libre pour tous les personnes élues de Transition Montréal afin de mettre fin à la discipline de parti. Nous nous engageons aussi à mettre fin à l’exception antidémocratique qui prive encore les résidentes et les résidents de Ville-Marie du droit de choisir leur propre mairesse ou maire d'arrondissement.

Le bulletin préférentiel, utilisé notamment à New York, permet aux électeurs de classer les candidats en ordre de préférence. Ainsi, la mairesse ou le maire élu.e aura véritablement l’appui d’une majorité.

Enfin, le parti promet de mettre fin à l’exception qui prive Ville-Marie de démocratie locale, puisque les résidentes et les résidents n’y élisent toujours pas leur propre mairesse ou maire.

Projet Montréal avait promis de corriger cette aberration, mais a reculé, même après une consultation publique où 93 % des répondants réclamaient ce droit. C’est inacceptable.

« Si Ottawa et Québec n’ont pas le courage d’avancer vers une réforme démocratique, Montréal doit montrer la voie. Nous avons une occasion historique de bâtir une démocratie plus juste, plus représentative et profondément progressiste. »